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Avis Anglify : comment j’ai retrouvé confiance en anglais en 3 mois

Anglify formation cpf

Je m’appelle Camille. J’ai découvert Anglify par mon frère (rédacteur chez Sur le bout de la langue).
J’avais un besoin professionnel très concret : une opportunité de poste impliquant des échanges réguliers avec des clients anglophones se profilait, et je ne voulais pas me retrouver à bégayer sur des mots techniques ou à perdre confiance en entretien. J’avais un bon bagage (licence LEA, niveau B2), mais faute de pratique quotidienne, je sentais que mon oral n’était plus au niveau. 

Mon objectif était simple : gagner en aisance à l’oral pour pouvoir conduire des réunions, argumenter un projet et rédiger des emails pro sans trop tergiverser. Je ne visais pas d’emblée un exam officiel, mais j’espérais retrouver la fluidité et la confiance que j’avais il y a quelques années. Je savais qu’il me fallait une formation intensive pour cela.

Pourquoi j’ai choisi Anglify plutôt qu’une autre formation d’anglais CPF

Avant de me lancer, j’ai jeté un œil aux retours d’autres apprenants : plus de 2000 personnes avaient déjà suivi le parcours Anglify, et les notes en ligne étaient impressionnantes (5/5 sur TopFormation avec une cinquantaine d’avis, près de 4,8/5 sur Google avec plus de 200 avis).
C’est une entreprise jeune (2023) mais une valeur montante, qui semblait mettre en avant un ton humain et des coachs compétents (souvent titulaires du CELTA).

A côté le concurrent Clic campus semblait proposer beaucoup d’e-learning en autonomie, ce qui ne m’intéressait pas car je voulais vraiment pratiquer mon oral. Et il y avait aussi le fameux Wall Street English, plus cher et plus axé sur le présentiel, qui ne correspondait pas à mon emploi du temps.

Bref : Anglify cochait toutes les cases.

Le premier contact : cadrer le projet

Tout a commencé par un appel de l’équipe pédagogique. On m’a posé des questions sur mon projet, mon planning, mes attentes — pas un discours commercial, mais un vrai échange pour comprendre ce que je voulais faire avec mon anglais. J’ai apprécié ce soin en amont : ça a donné l’impression qu’on ne me proposerait pas un programme « standard », mais quelque chose qui soit adapté à mes attentes.

Tests & choix du coach : deux étapes qui ont tout changé

J’ai passé un test de niveau et un court questionnaire de personnalité. Le test m’a rapidement situé : niveau B2, comme je le pensais. Le questionnaire m’a permis d’expliquer mes centres d’intérêt (voyage, rédaction web, tech) et ma manière d’apprendre (j’ai horreur des listes interminables : je préfère apprendre par contexte et par usage). Ensuite, Anglify m’a proposé deux profils de coachs présélectionnés selon ce test de personnalité — j’ai choisi la coach avec qui j’avais le plus d’affinités professionnelles et humaines. Ce système de mise en relation “coach/apprenant” s’est avéré déterminant : se sentir compris par son professeur transforme l’apprentissage.

coachs Anglify
L’équipe de coachs (ils ne sont pas tous là )

Mon programme sur mesure

Ma coach et moi avons construit un parcours adapté à mes objectifs : une visio hebdomadaire d’une heure centrée sur la conversation, des activités à réaliser entre les cours (2–3 heures/semaine environ), et un suivi régulier sur une plateforme collaborative. Le programme n’était pas figé : après deux semaines, on a ajusté l’équilibre entre prononciation, vocabulaire métier et compréhension orale selon mes progrès.

La plateforme et les ressources : Notion comme espace personnel

Toutes les consignes et exercices étaient regroupés sur une page Notion ( c’est une plateforme collaborative pour centraliser des ressources).
J’avais donc un tableau avec les tâches hebdomadaires (tags : conversation, vocabulaire, grammaire, compréhension orale), un planning des visios, et une liste de ressources (liens, podcasts, vidéos). Concrètement, je glissais la carte « exercice fait » quand j’avais terminé, et ma coach pouvait corriger ou commenter. C’est extrêmement pratique parce que tout est au même endroit et accessible à n’importe quelle heure — idéal quand on bosse à temps plein comme moi.

Mon coach m’a conseillé d’essayer quelques applis ciblées : par exemple Elsa Speak pour travailler ma prononciation, Mosalingua pour réviser du vocabulaire en contexte, et GlobalExam pour m’entraîner aux formats d’examen.

Ces ressources ont été sélectionnées selon mon profil : pas de surcharge inutile, juste ce qui m’aide à progresser.

Les cours et les ateliers : apprendre sans stress

Chaque semaine, ma visio d’une heure était dédiée à la prise de parole — on travaillait sur des sujets concrets (présentations produit, retours client, discussions techniques). En dehors de la visio, j’avais des tâches pratiques : résumer un podcast, faire une mini-présentation enregistrée, travailler une liste de 10 mots utiles. Le coach corrigeait, expliquait et proposait des variantes.

Info : Récemment, Anglify a enrichi son offre avec plus de 100 vidéos techniques publiées sur sa chaîne YouTube, ce qui complète bien les cours en visio.

J’ai aussi participé à des ateliers en petits groupes — Movie Club, club de lecture et un atelier « pitch commercial » en anglais. Ces ateliers sont l’une des pépites du dispositif : on parle, on rit, on se trompe sans jugement, et l’oral devient naturel. Le Movie Club, par exemple, m’a permis d’apprendre des expressions idiomatiques sans m’en rendre compte.

La discipline demandée : ce qu’il faut savoir

Ce n’est pas une surprise : il faut un minimum d’investissement. Sans objectif bien défini, j’aurais vite lâché. En m’engageant sur 3 mois et en ayant une deadline (préparation au poste), j’ai tenu la cadence — environ 3–5 heures par semaine en comptant la visio. Si vous pensez que tout se fera tout seul en allumant une appli 10 minutes par jour, préparez-vous à être déçu 😉.

Le financement : CPF et alternatives

J’ai utilisé mon Compte Personnel de Formation (CPF) pour couvrir la formation.
Anglify m’a aidé pour le montage du dossier — c’est un vrai plus quand on n’a pas l’habitude de ces démarches. Selon votre situation, d’autres aides existent (Pôle emploi, FAF, Agefiph, etc.) : l’organisme vous oriente là-dessus. Renseignez-vous avant de vous inscrire pour savoir si vous devrez compléter avec un reste à charge.

Mon évolution : de B2 à C1

Après trois mois de travail régulier, j’ai ressenti une vraie différence : je m’exprimais plus vite, je corrigeais moins mes formulations, et j’avais retrouvé une assurance que j’avais perdue. Mon coach m’a aidée à structurer mes prises de parole et à élargir mon vocabulaire professionnel. Sur une échelle CECRL, je suis passé d’un B2 capable mais hésitant à un C1 plus confiant — résultat corroboré par des enregistrements « avant/après » que nous avons comparés. Bien sûr, vos progrès dépendront de votre point de départ et de votre implication.

Se préparer aux certifications avec Anglify 

Ma coach m’a montré que si je voulais passer un test comme le TOEIC ou le TOEFL ou encore les examens Cambrige, elle pouvait orienter les cours dans ce sens : on pouvait intégrer davantage de simulations, des tests blancs, des stratégies de gestion du temps et une familiarisation avec le format du test souhaité. Pour moi, la certification n’était pas prioritaire, mais ma prof m’a tout de même donné des outils pour acquérir les automatismes requis si je devais en passer un.

Ce que j’ai aimé — et ce qui m’a demandé des efforts

Les points forts selon moi :

  • un parcours sur mesure qui prend en compte vos centres d’intérêt,
  • un matching coach/apprenant très efficace,
  • une plateforme simple (Notion) qui centralise tout,
  • la flexibilité (cours planifiables selon votre agenda),
  • les ateliers ludiques qui rendent la pratique joyeuse.

Les limites :

  • il faut une discipline personnelle ; l’efficacité de la formation dépend de votre investissement,
  • si le matching ne convient pas, la progression peut ralentir (mais on peut demander un changement de coach),

Conseils si vous songez à tenter l’expérience

  1. Définissez un objectif précis (niveau, date, usage pro).
  2. Consacrez un créneau hebdomadaire et respectez-le.
  3. Choisissez un coach dont le profil vous semble compatible (centres d’intérêt, ton, expérience).
  4. Variez les supports (podcasts, vidéos, lectures) et enregistrez-vous pour mesurer vos progrès.
  5. Participez aux ateliers : c’est là que l’oral se travaille vraiment.
Cours anglais Anglify

Alors quel est mon avis final sur Anglify ?

Mon retour d’expérience est positif. La formule 3 mois a bien marché pour moi et j’ai pu fortement améliorer mon aisance à l’oral, ce que je recherchais avant tout.
La formation a coché toutes les cases : progression rapide, cours axés sur la pratique, pas de perte de temps dans des exercices inadaptés, et surtout une coach au top !
Je recommande vivement cette approche à toute personne motivée par un objectif professionnel concret (mais soyez prêt(e) à travailler régulièrement).  

FAQ


Combien d’heures par semaine faut-il consacrer au programme Anglify?


Généralement 2–5 heures en autonomie + 1 heure de visio hebdomadaire constituent un bon compromis.


Est-ce que la formation convient aux débutants ?


Oui, la méthode se décline du niveau A1 au C2 avec des ressources adaptées.


Quels examens peuvent être réellement préparés ?


TOEIC, TOEFL, et les examens Cambridge.


Et si le coach ne convient pas ?


Le responsable pédagogique peut proposer une réévaluation et un changement de coach si le matching n’est pas satisfaisant.


Quelle amélioration espérer en 3 mois ? 


L’apprenant gagne au moins un niveau CECRL en seulement 3 mois, parce qu’il trouvera des outils concrets et pas seulement de la théorie.

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3 réponses

  1. C’est complet, merci. Du coup je vais les utiliser car mon anglais laisse (pour l’instant) a désirer !!

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